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Un droit légitime, le plus entier et que nul se saurait prétendre lui enlever. La République Dominicains use de toutes les voies et de tous les recours possibles pour sécuriser ses investissements autour de la rivière Massacre, son économie régionale et nationale et son l’avenir de son développement.
L’équilibre et l’équité dans l’utilisation des cours d’eaux partagés entre les deux pays sont désormais les aspects critiques à garder actifs dans la coopération liée à la question de l’eau et l’environnement entre la République Dominicaine et Haiti. Un (nouveau) cadre de coopération en phase avec les enjeux d’aujourd’hui et tenant compte des perspectives avantageuses pour ces 2 nations s’impose.
Aussi, est-il de la notoriété d’Haïti de s’assumer et de se prémunir de ses droits légitime et existentiel. Dans cette crise de l’eau opposant les 2 États, la construction entamée de l’unique prise haïtienne sur la rivière Massacre contre 11 prises dominicaines construites unilatéralement, est un principe non négociable pour Haïti; il y est lié la manifestation de la souveraineté et la dignité de toute une nation et de l’intégrité, de la préservation et de l’inviolabilité de son territoire.
Pour une solution durable, Haïti devrait pouvoir négocier avec la République voisine une compensation financière pour réparer l’équilibre, l’équité et les impacts dommageables par l’utilisation excessive de l’eau de la rivière Massacre, en raison des 11 systèmes installés par ce pays.
Le cas échéant, les paiements de la compensation négociée seraient exclusivement consacrés au développement agricole dans le Département du Nord ’Est.
Par ailleurs, toute nouvelle intervention sur la longueur, de la source à l’embouchure, devrait relever d’un compromis entre les 2 états, sous l’égide des conventions et du droit en applicables en la matière.
Les peuples partageant l’île doivent pouvoir coexister, s’épanouir et se développer dans la paix et l’harmonie.
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